Le Cabriolet Type C apparaît à la fin de l'année 1922 - début 1923. 

Production : Châssis à empattement court (C2) : mars 1923 à septembre 1923. Puis Châssis à empattement long (C3) : octobre 1923 à juin 1926.

Le "Cabriolet" était une version plus luxueuse et plus confortable que le "Torpédo".

Couleur de la carrosserie : jaune ou havane (C2- mi-1923), puis (C3-mid-1923/26) : Rouge bordeaux, bleu canon ou havane . Sièges et aménagement intérieur : similicuir : rouge ou noir pour les voitures rouges ; noir pour les voitures bleues ; marron ou noir pour les voitures Havane. Le revêtement de sol est un tapis en brosse noire.

Le capot se fermait hermétiquement ; il était en simili cuir noir, avec une doublure en tissu et des arceaux métalliques. Le toit pouvait être ouvert et fermé de l'intérieur. Sur les châssis à empattement long, le capot était disponible en simili cuir rouge, marron ou noir.

Des poches de rangement étaient installées dans la porte et à côté du conducteur.

Sur le châssis à empattement court, le couvercle du compartiment à bagages était plus grand que sur le modèle T2 ; ce qui ne permettait pas de monter le porte-bagages extérieur ; les clients s'étant plaints, le châssis à empattement long revenait au couvercle plus petit.

À l'intérieur, derrière les sièges, il y avait une trappe fermée par un couvercle donnant accès au coffre.

Une poignée de porte en forme de T était montée à l'extérieur. Les charnières sont visibles.

Une banquette confortable offrait assez d'espace pour deux personnes. Sur les premiers modèles, le siège du passager était légèrement plus étroit pour faciliter l'accès.

Sur le châssis à empattement court, le tableau de bord était en aluminium usiné et poli ; sur le châssis à empattement long, il était remplacé par de l'acajou verni avec des frises d'ébénisterie incrustées sur le tableau de bord et des incrustations sur les bandes sous les fenêtres.

Les deux fenêtres latérales pouvaient descendre à l'intérieur de la porte et étaient actionnées par une sangle comme sur les wagons de chemin de fer de l'époque. Ces fenêtres pouvaient également être maintenues clipsées en position haute lorsque le capot était ouvert.

Le pare-brise était en deux parties, la partie supérieure s'ouvrait vers l'avant afin de donner plus d'air frais et une certaine visibilité en cas de forte pluie.